Alors que nous passons plus de temps à la maison, nous sommes plus fatigués confinés ! L’historien Georges Vigarello appelle ce phénomène le « syndrome de l’empêchement ».
La difficulté à se projeter dans l’avenir, le manque de contacts, de culture, d’activités sportives et les voyages annulés sont autant de facteurs qui déclenchent de la fatigue chronique.
Les femmes, plus exposées à la charge mentale, qui travaillent parfois dans de mauvaises conditions et dont les journées s’allongent, sont plus concernées.
Mais la situation des étudiants est davantage préoccupante. Ils se retrouvent isolés, sans espace pour se retrouver, sans perspective et sans aucune envie.
Une piste pour retrouver la forme ?
Savourer les petits bonheurs quotidiens, se créer une routine pour rester motivé et se faire du bien et continuer à planifier des projets pour plus tard…
L’article « Sans sorties, sans fêtes, sans restaurants, pourquoi sommes-nous si épuisés ? » de Tiphaine Honnet revient en détail sur le sujet.
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